From Joachim du Bellay’s Un Songe ou Vision (12):
Je vy sourdre d’un roc une vive Fonteine,
Claire comme crystal aux rayons de soleil,
Et jaunissant au fond d’un sablon tout pareil
A celuy que Pactol’ roule parmy la plaine.Là sembloit que nature et l’art eussent pris peine
D’assembler en un lieu tous les plaisirs de l’œil :
Et là s’oyoit un bruit incitant au sommeil,
De cent accords plus doux que ceux d’une Sirene.Les sieges et relais luisoient d’ivoire blanc,
Et cent Nymphes autour se tenoient flanc à flanc,
Quand des monts plus prochains de Faunes une suyteEn effroyables cris sur le lieu s’assembla,
Qui de ses villains pieds la belle onde troubla,
Mist les sieges par terre, et les Nymphes en fuite
Mine is the Helgerson bilingual edition, which I finally bought a personal copy of since the university one has been quarantined in my office since mid-March. His translations are fine but clearly there as cribs for the facing text so I won’t take the time to type it out.